Comprendre et se Libérer de nos Messages Contraignants

Découvrez comment nous construisons notre mental depuis notre naissance, avec notre ego et tout ce qui fait que nous pensons que les choses sont bien ou mal …

Nous communiquons avec des mots, avec nos gestes, et nous communiquons tout autant quand nous ne disons ou ne faisons rien. Nos interactions avec les autres sont constantes, que ce soit au travail ou dans notre vie privée. Ce qui détermine comment nous agissons et comment nous gérons nos tâches est lié à la manière dont nos croyances aidantes ou limitantes nous guident.

Les messages contraignants sont des injonctions, des commandements, implicites et explicites que nous apprenons dans notre enfance auprès de notre figure d’attachement, et pire, que nous transmettons souvent à nos enfants. 

Il y a 5 messages contraignants (drivers):

  • Soit fort
  • Sois parfait
  • Fais plaisir
  • Fais des efforts
  • Depeche-toi

C’est ce que l’on appelle des drivers d’analyse transactionnelle, ou messages contraignants. Nous les entendons depuis que nous sommes tout petit. Nos parents nous disaient «tu peux faire mieux», «ce n’est pas assez bien», «tu es toujours en retard», «tu n’es jamais assez responsable». 

Ces messages que nous recevons et/ou utilisons en permanence déterminent la manière dont nous pensons à nous-mêmes et comment nous nous comportons dans la vie. Il est très utile de savoir lequel ou lesquels nous dominent.

Carl Jung explique cela comme l’ombre. En psychologie analytique, l’ombre est définie comme une partie de nous-même que nous ne connaissons pas, parce que nous ne la remarquons pas. Elle est la face cachée qui nous pousse vers des actions limitantes car elles nous détournent le plus souvent de ce que nous voulons faire ou être véritablement.

Nous utilisons les messages contraignants pour être satisfait, pour nous rassurer, pour répondre à nos besoins, et pour nous sentir mieux psychologiquement. Si nous n’identifions pas nos propres messages personnels, nous nous trouvons déstabilisés/es ou stressés/ées.

Quand vous identifierez vos messages contraignants, vous verrez quelles sont vos faiblesses et vos forces. Pour chaque driver, il y a un côté positif et un côté négatif. Le côté positif est notre force, c’est ce qui augmente notre motivation et notre performance. Le côté négatif nous cause notre stress.

La bonne nouvelle est qu’il existe un antidote pour chaque côté négatif. Quand vous trouvez votre antidote, vous pouvez guérir votre stress et augmenter votre performance.

Les croyances limitantes sont la façon dont nous voyons nous-même, et elles forment nos opinions sur les autres et la société. Lorsque nous n’avons pas assez de confiance en nous, lorsque nous avons l’impression de ne pas être assez bons ou attrayants, ou lorsque nous avons l’impression de ne pas être aimés, ce sont ces croyances limitantes qui se cachent dans notre subconscient qui nous font penser et ressentir ainsi.

La meilleure façon de nous guérir est de prendre les mesures nécessaires pour les reconnaître et les identifier.

Plus nous comprenons notre ombre, mieux nous pouvons voir la racine de nos réactions. C’est une bonne idée de s’asseoir dans un endroit calme et paisible, d’analyser notre réaction négative et de se demander d’où elle vient. Quand nous attendons en silence, notre subconscient commence à communiquer avec nous et nous aide à comprendre pourquoi nous avons agi d’une certaine manière. Comprendre cela nous aide à corriger les mauvaises habitudes.

Test : Découvrez quels sont vos drivers, messages contraignants

Comment vous libérer de vos messages contraignants

Le driver «Fais plaisir»

Le driver «Fais plaisir»

Hérité de discours du type “Sois gentil”, “Pour me faire plaisir”, “Tu vas faire de la peine à Maman/Papa” etc…

Doué d’une grande flexibilité, le “fais plaisir” répond favorablement aux sollicitations. Altruiste par excellence, il a besoin de plaire et pense que, pour y parvenir, il faut mettre les besoins et envies des autres avant les siens.

Conciliant et attentionné, il est toujours prêt à aider. Il prend grand soin de ses contemporains, se préoccupe de leur bien-être, se plie en quatre pour eux et peut aller jusqu’à anticiper leurs besoins.

D’un naturel agréable, positif, compréhensif et encourageant, il est apprécié dans le travail d’équipe pour sa tendance à éviter les conflits, à être diplomate et bienveillant, à favoriser les décisions prises de façon collégiale, dans un système participatif où chacun peut s’exprimer.

Il peut se démener souvent pour les autres, même quand on ne lui a rien demandé.

Il peut aussi finir par se soumettre aux quatre volontés de son entourage. Et s’oublier derrière les désirs des autres, par crainte d’être rejeté.

Il peut facilement tomber dans la dépendance affective ou s’épuiser dans la recherche illusoire d’approbation.

Le déni de soi au profit des autres le mène à beaucoup d’insatisfaction et de frustration, de sentiment d’ingratitude.

Il peut avoir du mal à prendre des décisions, en particulier si elles affectent d’autres personnes. Il peut aussi avoir du mal à exprimer ses opinions ou ses désirs, à dire non, à demander quelque chose pour lui, à fixer des limites.

Il cherche souvent des signes de reconnaissance et dit oui à presque tout. Il veut qu’on l’aime.

Du coup, il obtient rarement ce à quoi il aspire ou estime avoir droit et peut finir aigri.

Sa crainte du rejet fait qu’elle n’exprime ni ses préférences, ni ses opinions : « je ne sais pas », « comme tu veux », « c’est toi qui choisis »… Ce qui la rend indécise et influençable.

Et sa soif d’être aimée fait passer ses besoins en dernier. À force, reconnaître ses désirs et affirmer ses besoins devient fastidieux. Cette personne n’ose pas dire « non », ni fixer ses limites.

À donner beaucoup sans recevoir en retour, nous agissons en « sauveur ». Le danger est de se faire manipuler.

On finit par être déçu(e) et frustré(e) : « Je fais tout pour tout le monde et personne ne fait rien pour moi ! » Du mode « sauveur », on bascule alors au mode « victime ».

Comment réussir à assouplir, ramollir la tendance « Fais Plaisir »

Prenez soin de soi. Faire passer ses envies, ses sentiments, avant ceux des autres, apprendre à dire non.

Quelles sont les convictions que vous associez à l’idée qu’il “faut faire plaisir”?

Ces convictions, d’où viennent-elles?

A qui appartiennent-elles? Quels talents et qualités avez-vous développés grâce à lui?

En quoi le “fais plaisir” est-il un problème dans vos comportements?

Dans vos relations? Dans la pression que vous vous imposez à vous-même? Aux autres?

En quoi le “fais plaisir” vous est-il utile? Qu’est-ce qu’il vous coûte? Dans quelles situations allez-vous conserver votre “fais plaisir”?

Dans les situations dans lesquelles votre driver vous dessert, que serait-il plus juste de croire?

Quel mode de fonctionnement vous serait plus bénéfique? Comment allez-vous vous y prendre pour le mettre en place?

Vous êtes une personne comme les autres, et à ce titre, vous méritez de prendre soin de vous autant que vous prenez soin des autres :

Que se passe-t-il si vous vous faites plaisir à vous-même? Qu’allez-vous faire pour vous faire davantage plaisir?

Réaliser que dans mon quotidien, je donne plus que je reçois et observer le phénomène en me demandant :

« Quelles sont les personnes qui donnent plus, prennent plus ou sont dans un bon équilibre du « donner et recevoir » ? »

Puis, donner en conscience aux personnes qui sont dans ce juste équilibre et se freiner à donner à celles qui ne retournent pas la pareille…

Je m’assure de recevoir, car je suis digne de cela, « je (le) mérite parce que je suis ». Ainsi, j’ose être fidèle à moi-même, en affirmant mes envies, mes besoins et mes limites.

C’est en renforçant mon estime personnelle et en « m’autorisant » que je me libérerai du dictateur « Fais plaisir ! ».

Le driver «Fais un effort»

Hérité de discours du type: “Fais un effort”, “Tu es trop lent” “A vaincre sans peine on triomphe sans gloire” « On n’a rien sans rien » etc…

Travailleur acharné et scrupuleux, le “fais un effort” est pleinement impliqué, capable de déployer une énergie énorme pour faire aboutir les projets qui lui tiennent à cœur.

Obstacles et difficultés ne lui font pas peur et il les prend à bras le corps. Il aime se dépasser et n’a aucune hésitation à retrousser ses manches, à aller au charbon, à payer de sa personne.

Doué dans l’anticipation et la résolution de problèmes, il est actif, appliqué, studieux et reconnaît volontiers les efforts produits par les autres. Il fait preuve d’énormément de bonne volonté, ainsi que de persévérance, d’endurance, de détermination.

Le “fais un effort” peut aussi se montrer besogneux, entêté et se décourager, à force d’efforts pas toujours utiles ou nécessaires. Trop absorbé par l’importance de l’énergie à déployer, il peut avoir du mal à finir car le résultat ne l’intéresse pas.

Il a du mal à s’autoriser le plaisir et peut aller jusqu’à compliquer les tâches pour pouvoir y mettre de l’effort, ce qui peut être très pénible pour son entourage. Il a aussi tendance à minimiser les résultats obtenus facilement, ce qui le conduit à dévaloriser les accomplissements des autres (et les siens aussi, d’ailleurs). Il peut être pessimiste et négatif.

Il peut se donner beaucoup de mal pour réussir. D’ailleurs, il aime assez raconter les péripéties rencontrées avant de rendre son travail.

Se complaisant dans le compliqué, il lui arrive de faire de chaque situation un problème. Puis, lorsque l’effort est automatique, la joie de vivre n’est plus. Ce qui peut la rendre désagréable à fréquenter.

Par ailleurs, pensant qu’il faut forcément en baver pour parvenir à ses buts, toute réussite facile sera critiquée, sinon peu valorisée. Puis, son habitude de travailler dur l’amènera parfois à brasser de l’air, pour avoir l’impression d’être utile.

Comment réussir à assouplir, ramollir la tendance « Fais un Effort »

Évaluez vos compétences et adaptez les enjeux. Acceptez de vous détendre et d’aller droit au but. Vous avez le droit de réussir facilement sans culpabiliser.

Quelles sont les convictions que vous associez à la nécessité de faire des efforts pour réussir?

Ces convictions; d’où viennent-elles? A qui appartiennent-elles?

Quels talents et qualités avez-vous développés grâce à lui? En quoi le “fais un effort” est-il un problème dans vos comportements? Dans vos relations? Dans la pression que vous vous imposez à vous-même? Aux autres?

En quoi le “fais un effort” vous est-il utile? Qu’est-ce qu’il vous coûte? Que se passe-t-il si vous simplifiez vos tâches? Que se passe-t-il si vous vous intéressez au résultat plutôt qu’à la manière d’y parvenir? Que se passe-t-il si vous acceptez que la réussite vaut ce qu’elle vaut, indépendamment de ce qui a été mis en œuvre? Quels aspects de votre “fais un effort” allez-vous conserver?

Dans les situations dans lesquelles votre “fais un effort” vous dessert, que serait-il plus juste de croire? Quel mode de fonctionnement vous serait plus bénéfique?

Comment allez-vous vous y prendre?

Se focaliser sur les solutions et non sur les problèmes, accepter qu’il ne soit pas forcément nécessaire de peiner pour réussir et garder foi en ses capacités et en soi. J’applique « après l’effort, le réconfort », je m’autorise les petits plaisirs de la vie et à faire ce qui me rend joyeux.

Le driver «Sois Parfait»

Hérité de discours du type: “tu peux mieux faire ” “c’est pas mal mais j’attendais mieux de toi” etc…

Bosseurs et capables de grandes choses, les “sois parfait” peuvent produire un travail de grande qualité.

Ils sont doués pour planifier, pour envisager les différents aspects, tenants et aboutissants d’une tâche ou d’un projet et favoriser ainsi son accomplissement. Exigeants, ils ont tendance à accorder beaucoup d’attention aux détails, à placer la barre très haut et sont souvent insatisfaits de leurs performances comme de celles des autres.

Ils ont du mal à reconnaître leurs accomplissements ou ceux des autres.

Dans leurs relations, ils ont tendance à avoir des exigences excessives, à voir davantage ce qui ne va pas que ce qui va, à pinailler sur les détails, à être avares d’encouragements et de retours positifs.

Souvent, les “sois parfaits” craignent l’échec et la perte de contrôle sur les événements. Ils peuvent se laisser déborder par des recherches et des réflexions coûteuses en temps et en énergie. Ils préfèrent faire eux-mêmes et ont du mal à déléguer.

Ils laissent rarement faire les choses au hasard, tout doit être parfait dans les moindres détails. Ils passent souvent leur temps à vouloir tout améliorer et font souvent plus que l’on ne leur demande.

Comment réussir à assouplir, ramollir la tendance « Sois Parfait »

Quelles convictions vous poussent à agir en “sois parfait” ? A qui appartiennent ces convictions? Quels talents et qualités avez-vous développés grâce à lui?

En quoi le “sois parfait” est-il un problème dans vos comportements? Dans vos relations? Dans la pression que vous vous imposez à vous-même? Aux autres?

Que se passe-t-il exactement quand vous accomplissez une tâche de manière imparfaite?

Dans quelles situations votre “sois parfait” est-il un moteur positif? Dans quelles situations vous joue-t-il des tours pendables? Quels aspects allez-vous conserver?

Dans les situations dans lesquelles votre “sois parfait” vous dessert, que serait-il plus juste de croire? Quel mode de fonctionnement vous serait plus bénéfique?

Comment allez-vous vous y prendre?

Soyez réaliste, comparez l’objectif de votre travail avec la demande réelle et lâchez prise. Vous avez le droit à l’erreur et au repos.

Le driver «Dépêche-toi»

Hérité de discours du type: “Arrête de traîner”, “Tu es trop lent” “Dépêche-toi de finir ton assiette” etc…

Pour le “dépêche-toi”, le temps est un bien trop précieux pour être gâché en circonvolutions inutiles. Très efficace, il sait travailler vite et a une grande capacité à être performant dans l’urgence, à obtenir des résultats rapidement, à faire avancer les projets en allant droit au but, en se débarrassant de l’inutile et du superflu.

Rapide et réactif, le “dépêche-toi” va facilement développer des solutions pour accélérer les procédures et peut être très autonome justement parce qu’il laisse les autres loin derrière lui. Cependant, il peut aussi, s’agiter, s’éparpiller, faire les choses à moitié.

Le “dépêche-toi” a une fâcheuse tendance à presser les autres pour qu’ils s’adaptent à son rythme effréné et à se montrer impatient, jusqu’à l’excès. Il met ainsi beaucoup de pression sur son entourage.

En moins de temps qu’il en faut pour le dire, notre Speedy Gonzales sous amphétamines devient un persécuteur focalisé sur le temps, qui a tendance à oublier d’expliquer les choses, à éventuellement faire à la place des autres pour gagner quelques précieuses minutes, à mépriser ce qu’il considère comme une lenteur intolérable et à finir ultra stressé et ultra stressant.

Il arrive souvent en retard et sait être efficace dans l’urgence.

Il aime courir dix lièvres à la fois. Attention cependant à la dispersion et à l’essoufflement !

Comment réussir à assouplir, ramollir la tendance «dépêche-toi»

Apprenez à vous organiser, à anticiper, à gérer votre temps et à vous recentrer sur l’essentiel

Quelles sont les convictions associées pour vous à l’idée qu’il est essentiel d’aller vite?

A qui appartiennent ces convictions?

Quels talents et qualités avez-vous développés grâce à lui?

En quoi le “dépêche-toi” est-il un problème dans vos comportements? Dans vos relations?

Dans la pression que vous vous imposez à vous-même? Aux autres?

Dans quelle mesure ces convictions vous sont-elles utiles? Qu’est-ce qu’elles vous coûtent?

Si vous augmentez de 20% le temps que vous vous accordez pour accomplir une tâche, que se passe-t-il réellement?

Si vous commencez la tâche plus tôt, que se passe-t-il?

Dans quelles situations voulez-vous garder votre moteur “dépêche-toi” ?

Dans quelles situations allez-vous vous autoriser à ralentir, à prendre le temps?

Dans les situations dans lesquelles votre “dépêche-toi” vous dessert: que serait-il plus juste de croire?

Comment allez-vous vous y prendre pour ralentir?

Se demander : « Après quoi est-ce que je cours ? » « Qu’est-ce que je fuis ? »

« À quoi correspond le vide ressenti dans les moments de calme, d’inaction ou de solitude ? »

« Serait-ce la peur de la mort ? » Si c’est le cas, je peux apprendre à l’accepter, ainsi qu’apprivoiser la solitude.

Le driver «Sois fort»

Hérité de discours du type “Il faut être courageux”, “Un grand garçon ne pleure pas”, “Ce qui ne nous tue pas nous rend plus forts” etc…

Orienté résultats, éminemment capable de faire face à des situations de crise, le “sois fort” maîtrise ses émotions et s’écoute peu. Autonome, il est un as de la résolution de problème. Peu préoccupé par l’expérience émotionnelle associée à la situation, il est enclin à chercher des solutions selon des critères plus neutres et objectifs.

Il ne montre jamais ses sentiments ou ses faiblesses, il a du mal à faire confiance, il préfère tout affronter seul même si c’est difficile.

Dans ses interactions avec les autres, le “sois fort” peut se montrer très exigent et montrera facilement du mépris envers tout ce qu’il considère comme une “faiblesse”. Il peut commencer par prodiguer aide et conseils, puis finir par faire à la place de l’autre, à mépriser ce qu’il considère comme une faiblesse.

Ce qui peut ressembler à de bonnes intentions a le défaut majeur d’instaurer une relation inégalitaire, dans laquelle le “sois fort” n’encourage guère l’autonomie et cache souvent un manque de confiance qui le pousse à s’installer dans la dominance.

C’est aussi pour cela qu’il lui est indispensable de cacher tout ce qui pourrait être interprété comme une faiblesse (ses émotions, par exemple), et ainsi il finit déconnecté de ce qui le rend vulnérable.

Comment réussir à assouplir, ramollir la tendance «sois fort»

En plus des questions ci-dessous, le “sois fort” gagnerait à se reconnecter à ses émotions pour éviter de finir en burnout, car ce qu’il prend pour de la “maîtrise des émotions” est en réalité la négation d’une fonction naturelle qui lui envoie des messages importants sur son bien-être. A trop les ignorer, il risque de ne pas voir les signaux qui indiquent que la coupe est pleine. Ouvrez-vous autres, acceptez de montrer vos faiblesses et osez en parler

Quelles sont les convictions qui vous poussent à être “sois fort» ? A qui appartiennent ces convictions ?

Quels talents et qualités avez-vous développés grâce à lui ?

En quoi le “sois fort” est-il un problème dans vos comportements ? Dans vos relations ? Dans la pression que vous vous imposez à vous-même ? Aux autres ?

Quelle est la différence entre une faiblesse et une fragilité ? Que se passe-t-il exactement si vous exprimez vos sentiments, vos émotions, si vous montrez votre fragilité ?

Dans quelles situations votre “sois fort” est-il un moteur positif ?

Dans quelles situations vous joue-t-il des tours pendables ? Quels aspects allez-vous conserver ?

Dans les situations dans lesquelles votre “sois fort” vous dessert, que serait-il plus juste de croire ? Quel mode de fonctionnement vous serait plus bénéfique ?

Comment allez-vous vous y prendre ?

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.